De la culture de l'entreprise à la RSE

Pour constuire des entreprises durables

Les engagements SYREC pour 2030 :

Toute entreprise vit, comme toute institution, entre la nécessité de jouer collectif pour être plus performante, plus innovante, pour améliorer l’engagement et attirer les talents dans ce nouveau monde des technologies.
Pour aligner les énergies individuelles sur des valeurs sociales, il faut réussir à créer ce collectif et répondre à une quête de sens au travail pour l’ensemble de nos collaborateurs.

Une RSE ambitieuse est un argument décisif pour une jeunesse que l’on suppose plus réceptive aux préoccupations environnementales ou sociétales. Ces facteurs ne peuvent plus être passés sous silence, comme nous l’avons fait naturellement par le passé. Il convient donc d’améliorer la responsabilité sociale et sociétale de nos équipes et de nos entreprises, avec la nécessité de jouer collectif pour être plus performants, plus innovants, pour améliorer l’engagement et attirer les talents, afin d’aligner les énergies individuelles sur des valeurs sociales.

Nous avons mis en place un véritable mécénat avec le fonds de dotation « Les enfants de Catherine ». Nous sollicitons nos équipes pour cette mission d’intérêt général en faveur :

  • d’un soutien psychologique au profit des enfants atteints de cancers,

  • d’un soutien financier innovant en faveur de la recherche dans les neurosciences (autisme, Alzheimer, Parkinson, tumeurs cérébrales).

Les politiques de prévention des risques professionnels actives sont donc à développer, telles que :

  • la gestion ergonomique, cognitive et organisationnelle des espaces de travail,

  • la culture de la bienveillance des équipes et du partage des connaissances au profit de la qualité,

  • l’encouragement à la qualité du travail pour éviter un échec économique, social et financier de nos collaborateurs et de l’entreprise,

  • la création de mécanismes de partage de l’amélioration de la productivité avec des mécanismes d’intéressement,

  • la réflexion sur les effets pervers de notre système de retraite par répartition pour les jeunes générations, en proposant un système d’intéressement. Le système des retraites ne tient plus ses promesses. Il devient donc de moins en moins rentable, de plus en plus inéquitable et pervers. Ce système empêche en outre la grande majorité des jeunes d’accéder à un capital. La mise en place de plans d’intéressement devient donc une priorité pour les entreprises afin de mobiliser et de cadrer une politique sociale ambitieuse, avec des équipes solidaires pour les jeunes générations, reposant sur un pilier ouvert à la capitalisation.

  • la définition de la raison d’être de l’entreprise, avec des objectifs et des valeurs permettant de dégager des résultats tout en participant à un monde plus inclusif.

Au niveau européen, des normes dites CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) sont venues codifier la durabilité, avec la prise en compte de :

  • l’environnement,

  • le social,

  • la gouvernance des entreprises.

Cette notion de durabilité est encore discutée et parfois retardée. Néanmoins, vouloir construire une société et des entreprises durables dans un environnement durable devient une nécessité pour les générations futures. La durabilité vise avant tout à rendre nos vies et nos entreprises durables, tout en gardant notre planète habitable.

Les investisseurs financiers réclament et exigent d’ailleurs des publications et certifications durables spécifiques, afin de promouvoir une finance responsable avec des taux bonifiés.
La gestion des déchets, les bilans carbone, la biodiversité, la gestion de l’eau, la gestion sociale avec toutes les parties prenantes nous conduisent à poser des actions concrètes dans notre vie quotidienne, avec une prise de conscience nécessaire.

Le rapport de durabilité prend donc tout son sens dans une société qui vit de grands changements technologiques, de nouvelles envies et aspirations.
Environnement, Social et Gouvernance sont les trois concepts fondateurs de la CSRD.

SYREC a donc décidé de développer ce type de missions pour notre monde futur et les générations à venir. Les principes et la qualité de l’audit CSRD ne peuvent se construire qu’avec une synergie entre compétences financières et techniques d’ingénierie (bilan carbone, gestion de l’eau, de la biodiversité). Cet accompagnement s’effectue grâce à la compétence et à l’ingénierie, pour bâtir les nouveaux métiers de demain.

La RSE ne doit donc plus être un discours moralisateur mais un ensemble de pratiques concrètes avec des effets mesurables. Elle devient utile, socialement porteuse de sens, lorsqu’elle est sincère et couplée à des progrès concrets dans l’organisation du travail, avec une attention portée aux salariés et à la performance.

L’information verte devient donc essentielle pour nous permettre de prendre des décisions structurées et structurantes.
Dans ce contexte, le législateur et l’Europe ont mis en place la CSRD. Les textes précisant la mise en œuvre de l’information dite « verte » ont été publiés en 2024, avec des échéances et des seuils pour les entreprises, afin de laisser le temps d’une mise en place progressive.

Les entreprises disposent donc d’un cadre légal obligatoire (CSRD) et d’un cadre volontariste plus adapté aux PME (VSME). La mise en œuvre de cette information à publier devient essentielle, dans la mesure où les établissements bancaires réclament ces données pour permettre l’accès à des crédits verts à taux bonifiés.

SYREC s’est engagé auprès des entreprises pour les accompagner avec :

  • une accréditation auprès de la H2A (Haute Autorité de l’Audit) comme commissaire aux comptes « vert », obtenue par Luc René CHAMOULEAU en décembre 2024,

  • une équipe dédiée, avec le recrutement d’un ingénieur SUP AGRO pour le suivi des bilans carbone,

  • deux ingénieurs MIAGE pour le traitement des données, avec des outils dédiés développés en interne.